Mondialement connue, Maria Simma raconte d'une manière simple ses relations avec les âmes du purgatoire qui s'adressent à elle pour demander du secours. Après la première publication du petit livre : Les âmes du purgatoire m'ont dit (Editions du Parvis), Nicky Eltz reprend le flambeau 25 ans plus tard en réalisant cet ultime entretien. Cet ouvrage sous forme de questions/réponses offre l'exposé le plus complet de Maria Simma édité en langue française. Ce sont ses dernières révélations recueillies deux ans avant sa mort. Ce livre est truffé d'anecdotes vécues par Maria Simma avec les pauvres Ames. Il donne de précieuses lumières sur la prière, le jeûne, le ciel, les anges, la sainte messe, les saints, l'enseignement de l'Eglise et de ...
Un récit inédit et captivant dans l'histoire de l'Eglise contemporaine. Un destin extraordinaire qui ne vous laissera pas indifférent. Ce témoignage exceptionnel est tiré d'un manuscrit inédit de 1955, écrit par Emanuele Brunatto sous le pseudonyme du Publicain. Mort dans des conditions suspectes en 1965, il est le premier fils spirituel connu du Padre Pio, auteur de sa première biographie (mise à l'index trois jours après sa publication...), et son défenseur le plus actif de son vivant ! Sa rencontre avec le célèbre stigmatisé bouleversera et jalonnera, jusqu'à la fin, la vie insolite de ce laïc peu ordinaire. La postface en retrace brièvement les dernières étapes bien remplies et mouvementées.
On a beaucoup écrit sur saint Pio et les anecdotes merveilleuses qui jalonnent sa vie sont connues de tous. Mais bien peu connaissent à fond qui était saint Pio de Pietrelcina. Les nombreuses lettres à ses directeurs de conscience, décrivant les merveilles que la Grâce opérait dans son âme, ne sont pas connues du grand public. De plus, cet exposé de vie mystique est très difficile à comprendre. L'auteur a bien connu le saint quand il était encore Padre Pio. Il était l'un de ceux que le Père avait choisis comme fils spirituels. Il s'est nourri de cette spiritualité forte grâce à toutes les lettres et colloques du Père et aux entretiens qu'il eut avec lui. Saint Pio de Pietrelcina, ...
Le 20 septembre 1918, dans le couvent du petit village de San Giovanni Rotondo, un frère capucin en prière découvre les stigmates de la crucifixion de Jésus inscrits sur ses mains. A partir de ce seul commencement, Sergio Luzzatto déploie une enquête extraordinaire : sur l'ordre mineur des Capucins qui tenait enfin, face aux Franciscain, son heure de gloire ; sur les Pouilles, région retardataire, saignée à blanc par la Première Guerre mondiale d'où sont revenus des survivants aux corps mutilés par les stigmates de technologies guerrières et que les nationalistes transforment en preuves du devenir christique de la nation ; sur la violence sociale dans la région qui très vite opposa les ouvriers agricoles occupant les terres aux grands ...